ME CONTACTER : 06 85 31 38 24
Avec l'image et la lumière
HYPERBANG
Gaëlle ROUARD : projecteur 16mm Christophe CARDOEN : projecteur d'ombres et de lumière
David CHIESA : cadre de piano et basse électrique
Gaëlle Rouard et Christophe Cardoen scandent de concert l’une des images argentiques, l’autre de la lumière, aux commandes d’une machine de sa fabrication qui hache le rayon mieux qu’un stroboscope. Et comme on parle de mettre en morceau : David Chiesa heurte et frictionne des cordes amplifiées… Une fiction qui tâte des origines et des chaos, les événements sonores assouvis de lumière pendant le lent travail de la transformation, des couleurs de lumières crues avalent l’image et quelques alpinistes. Le rythme s’accélère, les lumières et les sons s’épaississent, éblouissent, l’intrigue se fait insaisissable. Les personnages se débattent dans une matière plus dense, hypnotique… Et comme la scolopendre et le céphalopode (un représentant attardé des moeurs antiques) : ça se bouscule pour vivre et ça palpite d'exister. Sans kilowatts superflus, aux origines de l’art cinétique, avec du photon, de la chimie et du son …
TRAVERSÉES
Martine ALTENBURGER : violoncelle
Gaëlle ROUARD : projecteur 16mm Christophe CARDOEN : projecteur d'ombres et de lumière
David CHIESA : cadre de piano et basse électrique
Michel DONEDA : sissaphlone supramu
Marc PICHELIN : synthèse analogique
Michel RAJI : danse
Sébastien PERROUD : dispositif lumière
Michel MATHIEU : actions
SIGHTINGS
Christophe CARDOEN : lumières
David CHIESA : contrebasse
Michel DONEDA : sissaphlone supramu
Li Ping TING : actions
Li Ping écrit des poèmes dans lesquels il y a des corps, des sons et aussi des points rayonnants de lumière.
Elle regarde la lumière se déplacer, écoute les sons et on comprend alors que ce sont nos yeux et nos oreilles qui bougent.
Est elle la première femme à parler d’une voix incertaine et à ouvrir ses mains face à son visage pour voir tomber les lumières et les fréquences sonores?
Un objet environné de couleur, une rêverie comme la couleur.
Des sons dans un espace qui se perd et retrouve un visage devenu une image.
Une couleur facile….un son …..combien de sons entre la contrebasse et le saxophone: un pigeon qui rêve de toutes les couleurs.
Les mains se tendent perçants les arbres de papier.
UNKINO
Sophie AGNEL : piano • Pascal BATTUS : surfaces rotatives • Claire BERGEREAULT : accordéon et voix • Benjamin BONDONNEAU : clarinette • Etienne CAIRE : projecteurs 16mm • Christophe CARDOEN : dispositif lumière • Patrick CHARBONNIER : trombone • David CHIESA : contrebasse • Michel DONEDA : saxophone • Simon FELL : contrebasse • Anna GAÏOTTI : voix et claquettes • Nina GARCIA : guitare électrique • Bertrand GAUGUET : saxophone • Anouck GENTHON : violon • Benoit KILIAN : percussions • Joyce LAINÉ : projecteurs 16mm • Didier LASSERRE : batterie • Soizic LEBRAT : violoncelle • Lionel MARCHETTI : électroniques • Michel MATHIEU : actions • Jérôme NOETINGER : électroniques • Jean-Luc PETIT : clarinette contrebasse et sopranino • Christian PRUVOST : trompette • Aude ROMARY : violoncelle • Mathieu WERCHOWSKI : violon et alto
Le UN propose aux cinéastes Etienne Caire et Joyce Lainé de penser un dispositif filmique avec l’orchestre. Le film se compose de 4 bobines 16mm projetées simultanément soit en une frise panoramique de 10m x 2,50m ou bien en 6m x 4m (selon les possibilités des lieux). Sa durée est de 30 minutes. Si le son et l'image ont leur propre indépendance, des connexions peuvent néanmoins s'établir de manière illustrative ou narrative ou bien proposer une lecture totalement abstraite et subjective.
L'USAGE DU SONORE
Benjamin BONDONNEAU : clarinette / David CHIESA : contrebasse / Flore AUDEBEAU : textes / Lionel MARCHETTI : dispositif son / Claude SAUBOLE : guitare
Version étendue avec Laure TERRIER et Lætitia ANDRIEUX : danse / Sébastien PERROUD et Julien LOBBEDEZ : lumières
Un parc, une friche, le bord d’une rivière, un paysage peuvent être le théâtre de ces traversées poétiques qui s’appuient sur les réalités acoustiques et topologiques d’un lieu. Tout le jeu étant de s’en détacher par des subterfuges de circulations sonores inouïes et improbables qui feront apparaître ce qui est à un moment T et qui l’instant d’après ne sera plus. Elles composent à partir du réel, une symphonie d’insectes, des vrombissements d’eau, des crescendos de vent et des craquements de branches pianissimo. Mais elles vont bien au-delà et nous font percevoir ce que l’on ne pourrait pas entendre avec nos seules oreilles. C’est une plongée microscopique dans les éléments et dans les ondes radios environnantes.
NOIR / LINDORS
Sébastien PERROUD : dispositif lumière
David CHIESA : contrabasse et dispositif électroacoustique
Flore AUDEBEAU : actions, textes
Vous êtes dans le noir total. À ce moment limite, vous pouvez encore espérer ne pas vous perdre, mais pour combien de temps…Apparaissent des points, puis des dizaines, bientôt des milliers. Des formes en mouvement se constituent et se désagrègent en même temps. Des lignes horizontales et verticales structurent l’invisible, et le noir à nouveau, comme un silence.
Autour du texte poétique Noir, extrait du manifeste le Signe = de Christophe Tarkos, David Chiesa, Flore Audebeau et Sébastien Perroud invitent les spectateurs dans la matière noire dense. Le dispositif vidéo est librement inspiré du «expended cinema» d’Anthony McCall. Deux vidéo-projecteurs, deux stroboscopes, un laser de chantier, deux machines à fumée, six haut-parleurs et une contrebasse accompagnent le texte de Christophe Tarkos.
QUELQUES MINUTES DE SOLEIL APRÈS MINUIT
Xavier QUÉREL : projecteur 16mm • David CHIESA : contrebasse • Jean-Philippe GROSS : électroniques
Réunion de 3 long-activistes de la scène expérimentale française, pour un tout nouveau projet, intitulé “Quelques minutes de soleil après minuit”, pour une performance sonore et visuelle variant de l’intime au chaos, de la précision au sauvage…
Trio mêlant image, électronique et musique acoustique, avec le désir de ne pas être dépendant d’un système de diffusion pour une sorte de musique de “chambre” électro-acoustique. Un travail de la matière avec une réelle intentionde brouiller les pistes entre l’instrumentarium purement acoustique et électronique. Nerveux, énergique . . . et cinématographique abstrait (avec le travail de Xavier Quérel membre de la culte Cellule d’Intervention Metamkine) avec l’utilisation d’un écran de la taille d’une feuille A4 !
Un projet créé au festival Densités 2008 et à découvrir toute oreille et yeux dehors.
Collaborations avec des plasticiens, cinéastes lors de performances :
Kristof Guez : photograhie, Rosi Volturo : dispositif photo, Alessandro Prestipino : dispositif vidéo, Christian Monsarrat : pictorama, Tristan Maury action picturale, David Greco action picturale, Daniel Rabasahala action picturale, Cécile Trofime action picturale